Psychologie et Psychanalyse

j'trouve ça assez marrant, mais je ne m'amuse jamais à psychanaliser les gens du lycée parce que les risques d'erreurs sont assez fréquents vu que l'on ne connait pas vraiment la vrai face de la personne (et après tu te fais des préjugés sur les gens
Genre moi bah j'chuis pas exactement comme jchuis au lycée (c'est normal aussi), ya ke mes potes ki pourraient me psychanaliser et encore ...

Mais ça m'intéresserai de voir vos psychanalises des gens de la classe si vous en avez faite

Moué lol, pk pas, mais avec l'accord de la victime alors

Bah ça va de soi bien sûr
Ca me dérange pas de savoir comment on maurait psychanaliser mais m'attends o pire ... (enfin ça se trouve j'y suis pas passé )

T'inkiète Luluce, tu n'as absolument rien à craindre!!! Bon eh bien le message est passé, vous pouvez "psychanalyser" les gens de notre entourage ds ce topic à condition d'avoir leur accord!

Le premier qui me psychanalise, je le psychotise.

Comme c poetique... arrête ou jte psychanalyse ^^'

Ha, my freud... Nein psychanalisis!!! (jeu de mots pourri)

on dit pas nein mais kein

om'god.... whatcha u gettin mad aba't? nothin wron'n whatcha've said as'now..

Arrête!! on devrait étudier ce phénomère!! Un sentiment d'exclusion et d'incompréhension qui se change en mépris...

Je me demandais... y'en a qui ont des phobies particulières? (moi à part le latin...)

Viii, j'ai dse phobies particulières qui sont devenues plutôt de la peur!!!
Elles sont connes et je pense que tu les connais déjà!! (On s'en fout de ma gueule à cause de sa!! )

T'inkiète Mi-Moon! Les escalator au moins, c CONCRET!! Ya bien un ga ds ma classe d'allemand qui redoute plus que tout... la fatalité oO Pour ne pas être concret, C po concret! ^^'

Mais allez mimoune c'est pas grave, tout le monde à peur de quelque chose ^^.

Le truc de la fatalité c'est pas si con que ça... parce que... c'est peut être que c'est un peu ma phobie aussi lol. Vous avez pas l'impression d'être prisonnier d'une histoire déja écrite ? on se rassure en se disant qu'à chaque moment on fait un choix, NOTRE choix... mais est-ce qu'on aurait vraiment pu en faire un autre ?

Ma vrai phobie, ou plutôt question c'est : Est-ce que tout se résume à des équations mathématiques, même nos sentiments ? ou est-ce qu'il y a un niveau supérieur d'existence, un sens à cet univers... (ce qui rejoint une autre de mes questions : l'A.I. existe-t-elle ?)

(j'ai pas lu les trois pages d'avant lol ^^, donc dsl si mes posts ont une similarités à ceux des trois pages précédentes).

J'y crois pas... mais vu que j'en sais rien... tant que j'ai pas de preuve, jpeux rien affirmer.

Pour ce qui est de la fatalité, logiquement, ça voudrait dire que tu n'as pas le choix et que ça se passe inévitablement ainsi. Si tu ne peux pas l'éviter, autant ne le craindre et faire avec. Craindre ce qui est infaillible... c'est pas vivable.

Moa, ma + gde phobie, bah j'en parlerai à personne!
Mais, tu sais, An-Vy, il n'y a pas que les escalators! Il y a aussi les boules de bowling!! J'ai trop peur de me coincer les doigts deds!! =$

Tu as raison Mi-Moon, enfin, pour moi. Nos + grande phobie, on les garde pour soi. On ne parle que des "petites" phobies ^^

Moi je suis plutot tente par l'existensialisme. (Sartre, vous connaissez?)
En resume, on pourrait dire : "L'existence precede l'essence"
Explication : ce sont nos actes qui determinent notre vie et notre destin : il n'y a pas de nature humaine, seulement une condition humaine qui, si elle fixe des limites, n'est pas une limite en soi.
Je pourrais aussi parler du "Vouloir libere" Nieztchéen mais.... Pas envie, mal au doigts

Ok je suis en partie d'accord avec ton existensialisme, mais il ne faut pas oublier que nos actes sont largement conditionnés par notre culture, nos parents, notre quartier et tout ce qui nous entoure. Donc notre destin est en parti conditionné, le reste c'est à nous de voir.

Sinon les filles, si on parle de phobie, autant mettre vos "vraies" phobies non ?

Si c'est pr se foutre de ma gueule, humm... laisse moa réfléchir, non!! ^^

C'est pas sur ce genre de topic qu'on se fou de la gueule des gens mimoune t'inkiet pas. T'as peur du noir ? des clowns ? de Volpipi ?

Non, on est à 100% conditionnés, ou je nuance, à 90% conditionnés. C'est en fonction de ce qu'on rencontre qu'on règle nos actes. Que ce soit ds le même sens ou ds le sens opposés, on les règle à partir de ce qu'on vit. Il n'y a pas d'ombre sans lumière. Là c'est idem. C'est en partir orgueilleux de notre part de croire qu'on est complètement libres et maîtres de nos actes. Par exemple, deux jumeaux génétiquement identiques élevés séparément et différemment n'évolueront pas de la même façon. Jsuis d'accord avec Fernando, tout est une question d'environnement.

90%... Dou tu sors tes chiffres? Ca veut rien dire ^^
Il n'y a pas de nature humaine, seulement une conditoin humaine; les limites ne fixent pas le contenu ^^

Ces chiffres je les sors de moi, d'après l'environnement dans lequel je vis. C'est donc en tout cas valable pour moi. Si tu vois un mec qui se fait décapité devant toi, ça provoquera forcément un truc dans ta tête: ou tu seras d'accord, ou tu ne le seras pas, ou tu auras un avis nuancé... en tout cas, toutes ces réflexions seront dues au fait que tu ais vu celà. Si tu ne l'avais jamais vu, si on ne t'en avait jamais parlé, si tu ne connaissais pas son existence, tu n'aurais ps d'avis dessus. C'est ça le conditionnement. Aprsè, il y a bien sûr des choses que tu est amenés à pensé ou à faire toi-même mais majoritairement, tu es "préparé". On t'a cuisiné avant, tu n'y peux rien. Non les limites ne fixent pas le contenu mais tu as dit toi-même que le moule fait le gâteau (oki j'avoue ça paraît comique, mais au moins c'est vrai). Le lierre seul ne peut pas vivre. Donne-lui un tuteur, une façade, quelque chose sur lequel il peut s'appuyer et tu verras comme il grandira vite mais en se calquant à la surface dont il dépend.

Uaisp. Je suis d'accord que le conditionnement peut exister; mais il est uniquement du a celui qui le subit ^^
Je m'explique : quoi qu'on te dise, tu as toujours le choix; je te citerai Rimbaud ^^ Il a grandit etouffe dans une famille de la grande bourgeoisie, typique du XIXeme siecle; enfant prodige, il a tire plein parti de son genie jusqu'a ses 20 ans; a travers ses poesies et sa prose, il exprime clairement sa revolte et son refus des valeurs qui ont tente de le conditionner; a 20 ans, il part a Harrar (Zimbabwe ^^) et devient trafiquant. Il meurt trois ans plus tard, d'un mal qu'il aurait pu eviter, s'il avait accepte d'etre ampute de sa jambe droite.
Conclusion? Une ame forte, ou qui decide de le devenir, peut echapper a un conditionnement qui semble d'abord evident au vu des circonstances qui ont entoure le developpement de l'individu. Donc on rejoint ici l'existensialisme : on choisis ou non de devenir fort, et par cela on choisit ou non de plonger dans un moule; si l'on accepte ce qui nous est presente comme evident, alors on s'abandonne au quietisme, au fatalisme : on admet son inferiorite, on admet que l'on ne peut aller au dessus de ce que l'on pense de nous; on s'abandonne l'enfer des autres. Si au contraire on refuse de se borner a voir ce qui se presenter en premier, et qu'on choisi, lorsque deux voies s'offre a nous, d'en creuser une troisieme, alors on devient fort, et aucun conditionnement ne nous atteint; on rejoint ici l"Überschempf" (c'est comme ca ^^'?), de Nieztche, le surhumain, et son leitmotiv : "Vouloir libere".
Ainsi, contrairement a ce qui est communement admis, je pense que l'existensialisme n'est pas une philosophie, mais un point de depart, un tremplin, une etape a franchir afin de s'affranchir (oooh la belle aliteration ^^) de ses chaines et pouvoir se diriger vers l'erection (oui, l'erection, du verge eriger ) d'un systeme philosphique applicable individuellement et personellement.
Enfin, c'est juste mon avis ^^.